Réaliser une cloison saine, confortable et durable

Le cloisonnement est un élément essentiel de l’aménagement intérieur, offrant de nombreux avantages en termes d’organisation, de confort, d’esthétique et de flexibilité. Il permet de créer des espaces fonctionnels et personnalisés, adaptés aux besoins et aux modes de vie de chacun. Pourtant, le choix des matériaux utilisés pour réaliser ces cloisons peut avoir un impact sur la qualité de vie, que ce soit en termes de confort thermique ou de salubrité.

Alors comment faire le choix d’une solution saine et durable pour des cloisons intérieures ? Réponse dans cet article…

Les enjeux du cloisonnement de pièces

Si réaliser une séparation dans un logement semble a priori anodin, ces travaux peuvent avoir un impact sur plusieurs facteurs. Explications…

En premier lieu, ces cloisons vont avoir une influence sur la luminosité des pièces “enfermées” derrière ces cloisons. Ainsi, cela peut couper le rayonnement du soleil, si la pièce est au nord par exemple, et nécessiter des éclairages complémentaires. Il existe toutefois des parades, comme réaliser une ouverture vitrée dans la paroi (une verrière) ou peindre en blanc les parois.

Autre point crucial, lorsqu’on réalise des cloisons, c’est l’intégration des réseaux. Que ce soit l’électricité, l’eau ou même le chauffage, il faudra penser à leur intégration soit dans le complexe de la paroi, soit en réalisant des saignées (horizontales et/ou verticales) pour faire passer ces canalisations et câbles (de préférence bioélectrique). La solution de double paroi peut se révéler plus pratique dans beaucoup de cas. Elle offrira aussi une certaine modularité plus étendue que d’autres solutions plus figées.

En fonction de la pièce et de vos besoins, vous pouvez avoir à gérer les problématiques d‘isolation thermique et acoustique, voire même de remontées capillaires d’humidité.

Le plus souvent, le choix des matériaux biosourcés va régler la majorité de ces problèmes, mais nous vous conseillons toutefois d’avoir recours, en cas de doute, notamment dans le bâti ancien, à un expert du bâtiment pour bien diagnostiquer les causes de vos pathologies.

Dans les bâtiments recevant du public (ERP), la notion de résistance au feu est primordiale pour les cloisons. Les portes ou murs coupe-feu y sont nécessaires. Ce n’est pas le cas dans un logement privé mais pour votre sécurité, le choix de matériaux ralentissant la propagation au feu peut se révéler tout de même vital. N’oubliez pas que le détecteur avertisseur autonome de fumée (Daaf) est obligatoire dans une habitation depuis juin 2021.

Évidemment, notre engagement ici nous rappelle que privilégier le choix de matériaux naturels et renouvelables aura aussi un impact environnemental sur vos travaux, mais aussi sur la qualité de l’air intérieur. Ces matériaux et leur finition ne doivent pas comporter de matières toxiques pour votre santé.

Enfin, nous savons parfaitement que le type de matériau (biosourcé), mais surtout sa mise en œuvre (durée, accessoires, finitions) peut faire varier les prix de 1 à 10. Mais préserver votre santé et celle de vos enfants a-t-il un prix ?

Alors, quelles sont les solutions saines et durables aujourd’hui à votre disposition pour réaliser votre cloisonnement ?

 

Les solutions de cloisonnement

A ce jour, il existe une multitude de solutions pour réaliser son cloisonnement. Toutes n’ont pas le même impact environnemental. Le standard rail métallique, laine minérale, plaque de plâtre, bien qu’économique, se révèle à la fois peu écologique et surtout peut impacter sur la qualité sanitaire de votre intérieur.

Quelles sont alors les solutions alternatives pour réaliser des cloisons plus saines et surtout durables dans un logement ?

Les complexes en ossature bois ou métallique

Parmi les solutions existantes sur le marché, la pose d’un isolant dans une ossature métallique ou bois, recouvert d’un parement de finition reste la plus répandue.

L’ossature bois ou métallique

Montage d’une plaque fermacell sur ossature bois

Il est vrai que l’ossature métallique, avec des outils adaptés, offre une grande stabilité et résistance pour une bonne rapidité de mise en œuvre, une fois la technique maîtrisée.

Par contre, l’ossature bois se montre bien plus écologique (captation de CO2), limite les ponts thermiques et les bruits de choc. Sa facilité de montage, ne nécessite pas d’outil spécifique : une bonne perceuse-visseuse et une scie sauteuse, classique chez tout bon bricoleur. Le choix des fixations peut aussi être moins impactant. Les clous en bois sont particulièrement bien adaptés à un complexe tout bois, ossature avec lambris ou panneaux bois en finition, par exemple. Pour la fixation du panneau de finition, il est aussi possible de procéder par agraphage, une solution rapide, mais qui nécessite un équipement spécial.

Il faudra se montrer vigilant sur le choix de l’essence des tasseaux pour limiter leur déformation, à cause de leur sensibilité aux températures et à l’humidité. Pour la majorité des cas, les bois de classe 1 peuvent suffire (en demi-chevron 45×45 mm). En milieu humide préférez un bois de classe 2 et + est préférable.  Les essences les plus courantes sont l’épicéa (classe 1, 2 traité autoclave ou par trempage), le pin sylvestre (classe 2 si traité) et éventuellement le douglas (classe 3.1 ou 3.2)

L’isolant

Inutile de vous dire que nous vous conseillons de privilégier les matériaux biosourcés pour garnir ces cloisons. Comme expliqué ci-dessus et dans notre article ici, ils offrent toutes les garanties techniques et sanitaires d’une cloison réussie.

Et le choix s’avère désormais très large :

  • la fibre de bois : en format souple pour plus de facilité de mise en œuvre et une meilleure intégration des réseaux, les laines de bois offrent un parfait compromis thermique/acoustique pour les cloisons intérieures.
  • la ouate de cellulose : un des meilleurs isolants pour son rapport qualité/prix, elle nécessite un cloisonnement spécifique en ossature bois avec contreventement et une souffleuse-cardeuse pour l’insufflation de la ouate en caisson, en vrac, avec un  passage des gaines est facilité.
  • le chanvre : particulièrement étudiée pour ses qualités acoustiques, le panneau de chanvre est souple et léger, donc facile à manipuler et à poser dans des structures en rails métalliques ou en ossatures bois.
  • le trio chanvre-lin-coton : conçu avec des fibres de chanvre, lin et coton, le Biofib trio sera la solution haut de gamme pour une pose simple et efficace à tous niveaux.
  • la fibre d’herbe : autre alternative écologique, le panneau souple Gramitherm offre de bonnes performances thermiques et acoustiques, été comme hiver, et une empreinte carbone négative.
  • le liège expansé : imputrescible et de bonne qualité phonique, le liège est à privilégier pour les zones sensibles, du fait de sa rareté. Il s’applique en vrac (plus facile pour le passage des gaines) ou en panneaux (possibilité mur chauffant).
  • la laine de coton : en vrac ou panneau souple, le panneau acoustique Métisse en laine de coton recyclé pour une isolation performante et saine. Pose facile et confort assuré !
  • le panneau acoustix : isolant phonique de qualité, ce panneau est un mélange de papier recyclé et de fibres de pailles de lin. Fixation facile (agrafe, clou ou vis) et qualités thermiques complémentaires (λ 0,053).

Le parement de finition

Là aussi, on trouve désormais chez les négoces en éco-matériaux de nombreuses solutions alternatives aux classiques plaques de plâtre.

  • le fermacell : la solution solide et durable idéale à fixer et pour fixer. Certes un peu lourde, c’est ce qui en fait sa qualité, elle se trouve dans un format plus transportable (1000x1500mm) et ne nécessite pas de bande;
  • le panneau OSB : fabriqué à partir de chutes de bois et de bois issus de forêts gérées durablement, il valorise des ressources locales et renouvelables, sans ajout de formaldéhyde.
  • le panneau MDF Pure : fabriqué avec 100% de bois résineux, ce bois compressé est très solide et se fixe facilement sur une ossature bois. Utilisable également pour la création de meubles, de panneaux muraux ou de placards.
  • les lambris bois : ils offrent une finition intérieure haut de gamme alliant pose rapide, grande stabilité dimensionnelle et résistance aux variations d’humidité, idéale pour un parement durable et esthétique. La gamme acoustic sense de Meister apporte en outre des qualités phoniques à votre finition intérieure.

Notez qu’il convient de vérifier la compatibilité entre matériaux (isolant / parement finition) pour limiter les risques de condensation dans la paroi. L’usage de film d’étanchéité hygrovariable peut être préconisé dans certains cas.

Certains fabricants proposent ainsi des solutions complètes (isolant + panneau) qui facilitent à la fois le choix et la pose, tel le fermacork, panneau en liège expansé et plaque fermacell.

Le cas des pièces humides

Le choix de la solution de cloison dans une salle de bains ou la cuisine s’avère plus délicat. En effet, l’humidité y est plus présente par moment de la journée, et même si sa régulation peut être gérée par l’isolant (biosourcé) et la ventilation, il convient d’être plus prudent sur ce type de paroi, notamment pour une douche. L’usage d’isolant comme le liège ou le chanvre est donc préconisé. Pour le panneau de finition, pas besoin d’aller chercher des panneaux spécifiques, les plaques fermacell avec le kit d’étanchéité sont compatibles pour la plupart des usages en pièces humides ! Le panneau spécial douche sera toutefois à privilégier.

Cette solution très classique de cloison intérieure (isolant + double parois) peut répondre à la majorité des cas en offrant de bonnes caractéristiques thermiques et phoniques, mais nécessite toutefois une bonne quantité de matériaux et d’accessoires de fixation. Ce qui peut faire grimper le budget.

Une autre solution consiste à travailler avec des panneaux massifs…

 

Les panneaux massifs

Le principal intérêt de ce type de panneau est leur montage rapide. Pas besoin d’ajouter d’isolant ni parfois de finition ! Et s’ils sont d’origine biosourcée (bois, bambou, liège), ils apporteront à la fois des qualités hygrorégulantes et acoustiques (pour les bruits d’impact).

Le bois massif

On ne pas faire plus simple en cloison intérieure. Le profilé KONOPS, en forme de madrier (contrecollé 100% épicéa), permet une pose rapide (fixation par vis) et solide de la paroi.

De fabrication française, ce système offre une excellente empreinte carbone (le CO2 reste capté dans le bois). L’assemblage étant à la portée de tous, c’est une solution parfaite pour les débutants et auto-constructeurs (technique utilisable également en plancher).

Le panneau bambou

Le panneau bambou, alliance parfaite entre durabilité et esthétique, est fabriqué à partir de fines lamelles de bambou compressées de bambou. Il assure une solidité et une stabilité remarquables, en faisant un choix idéal pour un intérieur chaleureux. A monter avec les outils classiques de menuiserie (visseuse, scie sauteuse), pas besoin d’ajouter une autre finition et son entretien est facile.

Le mix liège plaque de gypse

La plaque de Fermacell et liège FERMACORK combine un panneau de gypse à 80% et de fibres de cellulose recyclées à 20%, avec un panneau de liège expansé. Ce produit 2-en-1 offre une isolation thermique et phonique efficace, tout en apportant une finition soignée. Idéal pour les murs donnant vers l’extérieur, ce panneau répond aux besoins d’isolation intérieure avec une grande facilité d’installation.

Si ces panneaux présentent le grand intérêt de se monter rapidement et facilement et sans finition ou entretien coûteux, ils restent acoustiquement un peu moins efficaces pour les bruits aériens, avec une tendance à un effet réverbération. Cela peut se compenser avec l’ajout d’une finition en liège, par exemple, comme le revêtement mural DEKWALL AMORIM.

Sinon, vous pouvez aussi passer au chanvre, une solution qui combine de nombreux avantages….

La brique de chanvre

On en parle régulièrement comme ici ou , la brique ou le bloc de chanvre est une solution pour cloison intérieure à la fois pratique et efficace.

La brique de chanvre est un matériau perspirant qui absorbe et restitue l’humidité, ce qui contribue à maintenir un climat intérieur sain tout réduisant les risques de condensation et de moisissures.

Son autre intérêt est de présenter des qualités thermiques et acoustiques de premier ordre. Légères et donc faciles à manipuler, elles peuvent être utilisées pour réaliser des cloisons intérieures droites ou même en courbes. Disponible dès 75mm chez Isohemp ou en 100mm chez Biosys, son format permet de réaliser une paroi fine, montée en mortier colle, tout en restant solide et efficace pour le confort thermique et acoustique.

Reste à lui trouver une finition à la hauteur de votre intérieur, en enduit ou chaux pâte.

Si vous faites le choix de la brique de chanvre en salle de bains, prévoyez une finition type fermacell pour limiter les risques.

 

La terre crue

La terre crue est un matériau géosourcé de construction ancestral qui connaît un regain d’intérêt pour les cloisons intérieures, grâce à ses nombreux avantages écologiques et techniques.

La terre crue, tout comme les matériaux biosourcés, a la capacité d’absorber et de restituer l’humidité, et prévient les problèmes de condensation et de moisissures. Grâce à sa capacité d’inertie, elle stocke la chaleur et la restitue lentement, ce qui permet de réguler la température intérieure. La densité de la terre crue offre une bonne isolation acoustique, réduisant la transmission des bruits entre les pièces.

La terre crue est un matériau naturel, abondant et surtout recyclable. Sa mise en œuvre nécessite peu d’énergie, ce qui en fait une option durable.

La terre crue apporte une touche naturelle et chaleureuse aux intérieurs. Elle peut être utilisée pour créer des finitions variées, des enduits lisses aux textures plus rustiques.

Quelques pistes de solutions dignes d’intérêt avec de la terre crue pour réaliser une cloison intérieure :

Le mur en pisé

Mur en pisé – Mirikina house par Jose Cubilla Architecte – Paraguay – Photo: Luis Ayala – Federico Cairoli

C’est certainement la solution la plus écologique de toutes dans cet article. Réalisé avec la terre d’excavation de votre terrain, en compactant de la terre crue humide dans un coffrage, couche par couche, jusqu’à obtenir l’épaisseur et la hauteur souhaitées. En fonction de la qualité et de la teinte de la terre, on peut obtenir de jolis rendus.

Cette technique nécessite toutefois un savoir-faire et de la terre tamisée, sans caillou. Le pisé demande un temps de séchage important après sa mise en œuvre, qui peut varier en fonction des conditions climatiques et de l’épaisseur de la cloison. Le pisé peut être sujet à des fissures, notamment lors du séchage ou en cas de mouvements de terrain. Enfin, l’intégration de réseaux (électricité, plomberie) dans les cloisons en pisé peut être complexe et nécessite des précautions particulières.

Pour parer à ces inconvénients, d’autres techniques vernaculaires ont été développées au fil des siècles en fonction des matériaux locaux…

Le torchis

Mur en torchis – St Juva – Photo Build Green

Le torchis est un mélange de terre, de fibres végétales (paille, foin) et d’eau. Il est utilisé pour remplir les ossatures en bois des cloisons, offrant une bonne isolation thermique et acoustique.

Cette technique utilise peu de matériaux, très locaux, mais demande un savoir-faire spécifique pour assurer une répartition homogène et un bon remplissage de l’ossature.

La mise en œuvre du torchis peut se révéler salissante et physique. La qualité de la terre est cruciale. Elle doit être argileuse, ni trop sableuse, ni trop limoneuse. Le dosage des fibres (paille, foin, etc.) doit être précis pour assurer la cohésion du mélange. Le malaxage du mélange demande de la force et du temps. Ainsi, la fixation de l’ossature  et le compactage du torchis doit être soignée pour éviter les déformations et les fissures. Enfin, les finitions (enduits, badigeons) doivent être compatibles avec le torchis pour assurer une bonne adhérence et une bonne respiration.

La bauge

Section en bauge – Photo Amaco, vidéo AsTerre, présentation François Streiff

Autre technique ancestrale, la bauge est un mélange de terre crue, de fibres végétales (généralement de la paille) et d’eau. Un dosage précis des composants est crucial pour assurer la cohésion et la résistance du mélange. Une fois la cloison sèche, elle peut être enduite avec un enduit de terre ou de chaux pour la protéger et l’embellir.

La bauge est toutefois très sensible à l’eau, ce qui la rend vulnérable aux remontées capillaires, aux infiltrations et aux projections d’eau. Il faudra prévoir, notamment en dalle, une protection adéquate contre l’humidité.

Tout comme le pisé, le séchage de la bauge est lent et dépend des conditions climatiques. La réalisation de coffrages et le compactage de la terre demandent un savoir-faire, du temps et de la précision. L’intégration de réseaux (électricité, plomberie) dans les cloisons en bauge peut être complexe.

La brique de terre crue (BTC)

Mur en brique de terre crue – réalisation et photo Richard Coignard

Les BTC sont des blocs de terre crue compressée, disponibles en différentes tailles et formes. Elles sont utilisées pour construire des cloisons massives et solides, offrant une bonne inertie thermique et une régulation hygrométrique, contribuant au confort intérieur.

Leur intérêt réside dans leur capacité à absorber la chaleur le jour quand le soleil frappe le mur, et la restituer la nuit. Leur réalisation ne nécessite pas forcément de finition particulière (un badigeon à la chaux ou d’argile, avec des pigments naturels de couleur) et offre un aspect esthétique qui peut s’adapter à tous les styles. Elles peuvent également être enduites avec un enduit de terre ou de chaux pour une finition plus lisse et uniforme.

Notre astuce : pour une meilleure stabilisation de votre brique de terre crue, il est possible de projeter à l’aide d’un pulvérisateur une colle à papier peint à base de méthylcellulose (épaississant ou gélifiant utilisé en alimentaire).

La brique de terre crue peut être soit achetée toute faite stabilisée à la chaux, soit fabriquée sur place grâce à une presse à BTC, avec la terre tamisée du terrain. Leur assemblage peut être fait à sec ou avec un léger mortier de terre.

Attention toutefois, car l’intégration des réseaux (électricité, plomberie) doit être planifiée en amont et réalisée avec soin pour ne pas fragiliser la cloison.

Les murs préfabriqués en argile ou terre crue :

Si vous cherchez la simplicité de mise en oeuvre, avec des produits sains et écologiques, les murs préfabriqués sont une solution idéale :

  • la plak’argilus : en argile et fibres naturelles (noix de coco), elle se pose très facilement en se vissant sur les armatures. Elles se découpent à l’aide d’un cutter et peuvent également se coller l’une à l’autre en joint décalé. Finition possible en enduit d’argile;
  • le panneau d’argile Wem : en argile et fibre de paille, il offre de bonnes qualités acoustiques. Sa fixation est sécurisée par le fait qu’il est stabilisé des deux côtés au moyen de treillis en fibres de verre. Idéal pour un mur chauffant.

Pour réaliser un cloisonnement intérieur sain et écologique, vous ne manquerez pas de solutions pertinentes. A vous de faire votre choix en fonction de vos contraintes, de vos envies en termes de finition, et des matériaux disponibles localement.

Les professionnels des magasins du réseau Nature & Développement sont à votre disposition pour vous conseiller sur les solutions adaptées à votre projet de cloison intérieure.

Crédits photos : Lumbardh Plluzhina, Ankit BansalAlex Tyson, Evgeniy Smersh  sur Unsplash, La Belle Galerie sur Pixabay

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