Les principales techniques de pose de menuiseries en rénovation

Les fenêtres jouent un rôle crucial dans le confort et la performance énergétique d’un habitat. Elles permettent de laisser entrer la lumière naturelle, d’aérer les pièces et d’offrir une vue sur l’extérieur. Cependant, des fenêtres vieillissantes ou mal isolées peuvent avoir un impact négatif sur le confort et donc les factures d’énergie. Si leur efficacité n’est plus au rendez-vous, les changer devient donc inévitable. Quelles sont les solutions de pose pour un changement de menuiseries ? Réponses dans cet article.

Avant de vous lancer dans l’aventure de la pose, ou tout simplement du choix du type de menuiserie, nous vous invitons à lire notre dossier vous préconisant les 12 conseils essentiels pour bien choisir ses menuiseries extérieures.

Il existe plusieurs méthodes de pose de fenêtres, chacune adaptée à des besoins et à des situations spécifiques. Les principaux types de pose de fenêtres sont les suivants :

La pose de fenêtre en dépose totale (en tunnel)

Cette technique consiste à retirer complètement l’ancienne menuiserie (dormant et ouvrants) et à l’encastrer dans le mur. Un nouveau dormant est ensuite installé, suivi de la pose des ouvrants.

Cette pose permet une meilleure isolation thermique et phonique du fait de l’étanchéité à l’air parfaite entre le dormant et le mur.  La dépose totale corrige en même temps les éventuels défauts de planéité de l’ouverture. Enfin, cette technique offre la possibilité d’installer des menuiseries plus performantes et pourquoi pas plus larges, en agrandissant l’ouverture (en respectant quelques règles de sécurité et de construction).

Si cette pose est plus technique et plus longue à réaliser que la pose en rénovation , ce sera la pose la plus efficace au niveau de l’isolation et de l’étanchéité à l’air et à l’eau de votre habitat. Ce sera aussi celle qui permet d’apporter le plus de clarté à votre vitrage.

La pose de fenêtre en rénovation

Cette technique consiste à conserver l’ancien dormant et à fixer la nouvelle menuiserie (dormant et ouvrants) par-dessus. Le dormant est généralement fixé au mur par des équerres et des joints de silicone assurent l’étanchéité.

Dans cette méthode, la fenêtre est installée à l’intérieur du mur existant, ce qui signifie que le cadre de la fenêtre est visible à l’intérieur de la pièce. Cette méthode est souvent utilisée lors de la rénovation ou lorsque le remplacement des fenêtres existantes est nécessaire.

Si cette pose est souvent préconisée par certains menuisiers pour sa simplicité, le risque avec cette pose, c’est d’être moins performant en termes d’isolation thermique et phonique, du fait de l’espace entre l’ancien et le nouveau dormant. En outre, cela ne permet pas de corriger les défauts de planéité de l’ouverture. Par contre, cela limite le niveau de clarté et le choix des menuiseries en termes de dimensions et de performance.

La pose au nu extérieur

Cette technique peut être très pratique pour de nombreuses raisons. Elle consiste à laisser les anciennes menuiseries pendant les travaux et de poser les nouvelles fenêtres en appui extérieur avant l’installation d’une isolation extérieure.

L’avantage de cette technique est de réaliser un chantier propre sans poussière et débris. Une fois les fenêtres installées, il suffit de retirer les anciennes et de poser les finitions. On peut ainsi opérer pendant l’hiver sans trop impacter sur l’efficacité énergétique de l’habitat à cette période.

La pose au nu extérieur nécessite une mise en œuvre plus rigoureuse et précise que d’autres techniques, car elle implique une parfaite intégration des menuiseries dans l’isolation extérieure. Cette technique ne peut être appliquée qu’en présence d’une isolation extérieure réalisée au préalable. Si l’épaisseur de l’isolant extérieur n’est pas suffisante, il faudra alors faire une pose tunnel « extérieure » avec recouvrement de l’isolant.

 

La pose en applique extérieure

Certainement la meilleure méthode, si on réalise une isolation extérieure. Cette technique consiste à fixer les menuiseries directement sur le mur extérieur, avant la pose d’une isolation (extérieure).

La pose en applique est généralement plus simple et plus rapide à mettre en œuvre (notamment avec des élargisseurs de dormant) que d’autres techniques. Ainsi, l’isolation extérieure recouvre l’intégralité des montants de la menuiserie. Il est important de prévoir une bonne étanchéité à l’air (type Contega) entre le dormant et le mur pour limiter les fuites.

La pose en applique offre un aspect extérieur épuré et moderne, qui peut être particulièrement adapté aux constructions contemporaines ou aux rénovations visant un style minimaliste.

A noter que dans certaines configurations, la pose en applique peut augmenter le risque de condensation sur les menuiseries, notamment en cas de différence importante de température entre l’intérieur et l’extérieur.  Cette technique peut également occasionner une moins bonne qualité de l’isolation phonique. Le choix des menuiseries et des matériaux adaptés permet de minimiser ces risques.

 

La pose de fenêtre en feuillure

La pose en feuillure, aussi appelée « pose en rénovation complète », est une technique qui consiste à retirer entièrement l’ancienne huisserie et à installer le dormant de la fenêtre dans une feuillure, c’est-à-dire une rainure creusée dans le mur. Cette technique est souvent utilisée dans les maisons anciennes, qui ont des murs épais.

Cette méthode nécessite une attention particulière sur l’isolation et l’étanchéité. Son intégration à l’intérieur du mur réduit de manière significative la luminosité, du fait d’un dormant plus conséquent.

Ces exemples de pose ne sont pas exhaustifs. En fonction du type de mur (bois, pierre, terre, brique, parpaing,…), des isolants, des revêtements, de l’environnement de la fenêtre, des techniques locales, et parfois du fabricant, d’autres types de pose, souvent des variables, peuvent être proposés par votre artisan local.

A savoir : fenêtre et isolation
Il est important de placer la fenêtre avant l’isolation, qu’elle soit intérieure ou extérieure.  Il faut donc poser le châssis contre sa face intérieure, avant même d’isoler. Ainsi, lors de la pose de l’isolant, les dormants (partie fixe des menuiseries) seront enchâssés dans l’isolant, ce qui assurera bien une continuité dans les éléments assurant la conservation des calories, éliminant de facto les ponts thermiques. Prévoir de bien assurer la continuité de l’étanchéité à l’air/eau par un raccord (type Contéga et Extoseal) avec une membrane hygrovariable (Pro Clima Intello) adaptée aux isolants biosourcés.

Les points de vigilance en matière de pose de menuiseries

Parmi les travaux de rénovation d’une maison ou d’un appartement, la pose de fenêtre est, avec le revêtement de sol, la plus grande cause de sinistralité. Il faut donc se montrer très vigilant avant de commander vos menuiseries sur ces quelques points :

Quel type d’ouverture prévoir ?

Si la majorité des fenêtres sont à battant avec une ouverture à la française, c’est à dire vers l’intérieur, il existe d’autres solutions d’ouverture : coulissante (levant et oscillo-coulissant), à oscillo battant, à soufflet (ou accordéon) et, plus rares, à l’italienne (vers l’extérieur).

Ainsi, vous trouverez forcément une solution d’ouverture lorsque votre fenêtre se trouve encombrée à l’intérieur ou à l’extérieur, ou lorsque vous avez besoin de plus ou moins réguler l’air intérieur d’une pièce. Dans le cas d’une porte fenêtre, le sens de circulation dans la pièce ou le mobilier environnant peut aussi déterminer l’ouverture d’un ouvrant vers la gauche ou la droite.

Comment prendre la côte des emplacements des menuiseries ?

C’est certainement l’un des points les plus délicats car cette cotation va déterminer les mesures exactes des menuiseries.

Le mieux est de prendre toutes les côtes, en bas et en haut :

  • la côte tableau : elle correspond aux dimensions de l’ouverture dans le mur, c’est-à-dire la largeur et la hauteur de l’espace où la nouvelle fenêtre sera installée. On la mesure entre les parties maçonnées, sans tenir compte des encadrements existants.
    • exemple: pour une fenêtre avec une cote tableau de 1000 mm x 1200 mm, cela signifie que l’ouverture dans le mur mesure 1000 mm de largeur et 1200 mm de hauteur ;
    • avec une cote tableau de 1000 mm x 1200 mm, pour garder un cochonnet (partie visible du dormant esthétique), la côte de commande hors tout de la menuiserie sera de 1090 x 1245.
  • la côte hors tout : correspond aux dimensions totales de la menuiserie, c’est-à-dire la largeur et la hauteur de la fenêtre avec son dormant . On la mesure du point le plus à l’extérieur d’un côté à l’autre du dormant.
    • exemple: pour une fenêtre avec une côte hors tout de 106 cm x 126 cm, cela signifie que la menuiserie mesure 106 cm de largeur et 126 cm de hauteur, en comptant les encadrements.

On oublie quelquefois de prendre en compte certains éléments lors de cette cotation comme :

  • la vérification du niveau et de l’aplomb des tableaux : même en mesurant le haut et le bas du tableau, il se peut que le mur ne soit ni de niveau ni d’aplomb. Une vérification s’impose pour prévoir une rectification ou des menuiseries adaptées. Rappelons que l’aplomb se mesure avec un fil à plomb et non un niveau mis verticalement qui ne permet pas de mesurer le gauche d’une menuiserie.
  • la côte sol fini (ou point de niveau) qui prend en compte les éléments à venir, tels qu’une chape, un ragréage ou un revêtement de sol. Pour le déterminer, on trace un trait à 1 mètre sur tous les murs intérieurs à partir du niveau de la côte de sol fini.
  • la hauteur d’allège : elle désigne la distance verticale entre le sol et la pièce d’appuis  d’une fenêtre. Elle est soumise à des normes de sécurité en France, définies dans le Code de la construction et de l’habitation (CCH). Ces normes visent à prévenir les chutes accidentelles, notamment des enfants. Ainsi, la hauteur d’allège d’une fenêtre située à l’étage doit être d’au moins 90 cm du sol. Elle permet aussi de définir la hauteur de la poignée.
  • les éléments environnants : comme un plan de travail de cuisine, un robinet, des toilettes, l’isolant (intérieur ou extérieur), des parements (intérieurs) qui peuvent gêner une ouverture dans une embrasure.

Si vraiment, vous ne vous sentez pas à l’aise avec ces mesures, le mieux est de faire appel à un professionnel.

Quelles fixations pour les menuiseries ?

La technique la plus simple est d’utiliser des pattes de fixation, également appelées équerres de fixation. Ce sont des éléments métalliques utilisés pour fixer les menuiseries extérieures (fenêtres, portes) au mur ou à l’ossature de la construction. Elles jouent un rôle crucial dans la stabilité et la sécurité des menuiseries.

Il existe plusieurs types de pattes de fixations pour ces menuiseries :

  1. Les pattes à scellement : elles  sont fixées au mur ou à l’ossature à l’aide de vis et de chevilles, puis noyées dans le mortier ou le béton.
  2. Les pattes à visser : elles se fixent directement sur le mur ou l’ossature à l’aide de vis longues.
  3. Les pattes de liaison : pour relier les menuiseries entre elles, en particulier pour les grandes baies vitrées.
  4. Les pattes spécifiques pour pose en applique, en tunnel, ou sur des murs fins

Une autre technique consiste à fixer les menuiseries avec des vis de fixation directement ancrées dans le mur à travers les dormants des fenêtres. Cette technique de pose avec des vis sans cheville permet d’aller chercher loin une fixation résistante parfois difficile à obtenir avec des pâtes posées proche du dormant et dont le tableau est parfois mécaniquement dégradé. Plus efficace en termes de performance acoustique et thermique, cette technique demande toutefois un outillage et une connaissance spécifique.

Le mieux est de consulter les instructions du fabricant des menuiseries et de demander conseil à un professionnel qualifié pour choisir les types de fixation les plus adaptées à votre situation.

Comment réaliser l’étanchéité de la menuiserie ?

Pour éviter les moisissures et les dégâts au bâtiment, réduire les infiltrations d’air responsables de consommation d’énergie et d’inconfort, il est nécessaire de réaliser une bonne étanchéité à l’eau et à l’air de vos menuiseries.

Cependant, par simplicité, et souvent manque de conseil, on choisit souvent l’utilisation de mousse polyuréthane (projetée en bombe). Au delà du fait que ces produits sont peu écologiques, les DTU de pose de menuiseries déconseille l’usage de ce produits pour l’étanchéité des menuiseries. En effet, la mousse PU n’est pas imperméable et ne résiste pas efficacement à l’infiltration d’eau, ce qui peut entraîner des problèmes d’humidité, de moisissures et de dégradation des menuiseries. En outre, la mousse PU se dégrade avec le temps sous l’effet des UV, des intempéries et des variations de température, perdant ses propriétés d’isolation et d’étanchéité.

Pour une étanchéité performante de vos menuiseries, il est nécessaire de travailler sur 3 paramètres  :

  • la rupture de pont thermique : il dépendra notamment du choix de votre complexe d’isolation intérieur, avec un isolant (biosourcé de préférence) et un frein vapeur hygroréglable.
  • l’étanchéité à l’air : autour des menuiseries
  • l’étanchéité à l’eau (aux intempéries) : notamment des appuis de menuiserie

Pour réaliser une étanchéité parfaite de vos menuiseries, il existe tout une gamme bandes d’étanchéité CONTEGA de chez Pro Clima adaptés au type de pose, aux parois, les seuils ou les montants, qu’on retrouve sous forme de ruban, bande de mousse précomprimée et de raccords.

La gamme de raccords Contega de Pro Clima

A savoir : l’étanchéité d’une Façade Ossature Bois

Lors de la pose de menuiserie pour une construction paille ou une isolation extérieure en bardage, il est obligatoire de prévoir une étanchéité à l’eau des seuils de fenêtres. Nous conseillons le ruban d’étanchéité Extoseal encors.

Pour la finition extérieure et intérieure, vous appliquerez un mastic silicone pour une finition durable et flexible. Il s’adapte ainsi aux mouvements des menuiseries et résiste aux intempéries. A réaliser à l’abri du soleil par temps sec.

Quel type de seuil prévoir ?

Le seuil de porte ou de fenêtre joue un rôle crucial dans l’étanchéité, l’isolation thermique et phonique, l’accessibilité et l’esthétique des menuiseries extérieures. Il existe différents types de seuils, chacun avec ses propres caractéristiques et applications :

  • Seuil à rupteur de pont thermique : aujourd’hui la majorité des seuils sont prévus pour limiter les ponts thermiques sur les appuis de fenêtres. Il reste toutefois à vérifier et traiter la continuité du pont thermique au niveau intérieur, via l’isolant.
  • Seuil PMR (Personne à Mobilité Réduite) : ce type de seuil est conçu pour faciliter l’accès aux personnes à mobilité réduite. Il est relativement plat et ne présente aucune surélévation, permettant un passage aisé en fauteuil roulant ou avec un déambulateur.
  • Seuil encastré : ce type de seuil est intégré à la maçonnerie du sol, affleurant parfaitement le niveau du sol extérieur. Il offre une esthétique minimaliste et moderne et s’adapte parfaitement pour une baie coulissante ou à soufflets.

Consultez les instructions du fabricant des menuiseries et n’hésitez pas à demander conseil auprès d’un professionnel pour choisir le type de seuil le plus adapté à votre situation.

Fenêtre accordéon – Menuiseries Bieber

Quels volets roulants avec vos menuiseries ?

Lors du remplacement de vos menuiseries, il est important de prendre en compte les contraintes liées aux volets roulants existants ou à créer, afin de garantir une compatibilité et une intégration optimale.

Si les volets roulants sont posés en applique (sur la façade, à l’extérieur des menuiseries), il faudra vérifier que les nouvelles menuiseries soient compatibles avec ce type de pose, en termes de dimensions et d’espace disponible.

 

Si les volets roulants sont intégrés dans le mur (en tunnel), il faudra s’assurer que le dormant des nouvelles menuiseries soit suffisamment large pour accueillir le coffre du volet roulant.

La largeur des nouvelles menuiseries doit être compatible avec la largeur du coffre du volet roulant, en tenant compte des éventuels jeux et des adaptations nécessaires.

La hauteur des menuiseries doit également être prise en compte, en particulier si le coffre du volet roulant est situé au-dessus de la fenêtre.

Il faudra vérifier que le type de moteur du volet roulant (manuel, électrique, radio) est compatible avec les nouvelles menuiseries et qu’il peut être facilement intégré. Enfin, l’emplacement de l’axe d’enroulement du volet roulant doit être compatible avec les nouvelles menuiseries et ne pas gêner leur ouverture.

En plus des contraintes mentionnées ci-dessus, il est important de prendre en compte les réglementations locales en matière d’urbanisme et de construction.

La réglementation pour la pose de menuiseries

Avant tout engagement de travaux, veillez à respecter les dispositions du PLU (Plan Local d’Urbanisme) de votre collectivité locale, notamment en ce qui concerne les matériaux autorisés, les couleurs, les styles architecturaux, etc.

De manière générale, si le changement de menuiseries est à l’identique (mêmes dimensions, même couleur, même matériau) et ne constitue pas une modification de l’aspect extérieur du bâtiment, il ne nécessite pas de déclaration préalable auprès de votre collectivité.

Par contre, si le changement de menuiseries modifie l’aspect extérieur du bâtiment (changement de couleur, de matériau, de dimensions, ajout de croisillons, etc.), une demande d’autorisation d’urbanisme est obligatoire (déclaration préalable de travaux), et peut aller jusqu’à un dépôt de permis de construire, dans le cas de changement de destination du bâtiment. C’est le cas aussi pour les portails et clôtures.

Notez toutefois que si vous êtes dans une zone classée par les bâtiments de France, des règles supplémentaires peuvent s’imposer, notamment par le choix des matériaux (bois , par exemple), par la forme des fenêtres ou par l’ajout de croisillons.

Fenêtres alu coulissantes – Menuiseries Bieber

Le mieux est de vous renseigner auprès de votre collectivité locale (mairie, communauté de communes) et de faire une demande de certificat d’urbanisme pour garder une preuve écrite des autorisations et obligations.

Pour aller plus loin dans les critères de choix de votre menuiserie, consultez notre article 12 conseils pour bien choisir ses menuiseries extérieures.

Dans tous les cas, la pose d’une menuiserie demande une grande expertise de l’existant, des solutions à mettre en œuvre et du type de menuiseries à installer. Chaque méthode de pose de fenêtre présente des avantages et des inconvénients, notamment en termes d’efficacité énergétique, d’esthétique, de coût et de complexité de l’installation.

Le choix dépendra donc de vos besoins spécifiques, de l’état de votre bâtiment, voire des réglementations locales en matière de construction. Il est recommandé de consulter un professionnel pour prendre en compte tous les paramètres et pour déterminer la meilleure méthode de pose pour votre projet.

Pour plus de conseils, venez à la rencontre des professionnels du réseau Nature & Développement disposant d’un show-room Menuiseries

Crédits images : Bieber Menuiseries, Pro Clima

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