Si la maison bois est connue pour ses vertus écologiques, les matériaux qu’on lui associe ne sont pas toujours aussi sains et durables qu’ils devraient être. Pourtant, on ne fait encore aujourd’hui peu de cas des isolants posés dans une ossature bois. C’est une erreur, car il est important d’assembler des matériaux compatibles entre eux pour pérenniser ce type de bâti naturel. On vous explique donc dans cet article pourquoi les matériaux biosourcés sont la meilleure solution pour isoler une construction en bois.
Aujourd’hui trop d’isolants posés sur les maisons bois sont des matériaux d’origine pétrochimique (polyuréthane, polystyrène) ou minérale (laine de verre ou de roche).
Pourtant, quand vous achetez de l’alimentation bio, il ne vous viendrait pas à l’idée de prendre des produits sous emballages plastiques ou polystyrène ! Au mieux vous achetez en vrac avec vos emballages, ou au pire sous emballage naturel ou recyclable.
Pour votre maison bois, on pourrait faire la même analogie. Est-ce normal d’y intégrer une isolation peu compatible avec l’état d’esprit écologique de l’habitat ?
D’autant plus que ces matériaux conventionnels, ne sont pas vraiment reconnus pour leurs qualités sanitaires, leur durabilité et surtout sur un point extrêmement important pour une ossature bois : leur perméabilité à la vapeur d’eau !
Et on pourrait encore enfoncer un peu plus le clou en vous parlant de l’ACV (analyse de cycle de vie) de ces produits conventionnels. En effet, leur bilan environnemental, de leur conception à leur fin, est vraiment loin d’être neutre.
Dans le cadre de votre projet de maison ossature bois, il existe donc des matériaux parfaitement compatibles avec le bois, classés par ailleurs dans la même catégorie de matériaux : les biosourcés !
L’usage de matériaux biosourcés est un enjeu important pour la transition écologique.
Qu’est qu’un matériau biosourcé ?
Un matériau biosourcé est un matériau issu de la matière organique renouvelable (biomasse), d’origine végétale ou animale. En d’autres termes, il provient de sources vivantes et non de ressources fossiles. Cela exclut aussi les matériaux dit «géosourcés » (la terre crue ou la pierre par exemple), bien que les matériaux en terre fibrée (comme le torchis) puissent logiquement intégrer cette famille.
Les produits biosourcés ont une faible empreinte carbone. Peu d’énergie est nécessaire à leur fabrication. Issus de matières premières renouvelables, leur usage contribue à préserver les ressources naturelles. Ils permettent de stocker une part importante de carbone durant leur vie dans un bâtiment, et sont potentiellement valorisables en fin de vie.
Parmi les isolants on trouve 3 grandes familles :
- les isolants rigides, sous forme de panneaux,
- les isolants semi-rigides, sous forme de panneaux flexibles ou de laine,
- les isolants en vrac.
On trouve également des bétons biosourcés, utilisés en remplissage, associant un granulat végétal comme du chanvre, lin ou bois, avec un liant minéral.
Les performances techniques des biosourcés
Par rapport aux matériaux conventionnels, les isolants biosourcés présentent des atouts indéniables qui les rendent parfaitement compatibles avec l’usage du bois.
Naturellement isolant, ces matériaux atteignent des niveaux de résistance thermiques quasi équivalentes aux matériaux conventionnels. Leur faible rayonnement procure une sensation de confort au toucher : ni trop chaud en été, ni trop froid en hiver.
C’est aussi pour ça que les isolants biosourcés sont très performants en confort d’été. Leur capacité à limiter le transfert de chaleur (avec un déphasage de 8 à 12h) et à atténuer l’amplitude thermique rend ces matériaux particulièrement avantageux face aux canicules.
Leur qualité acoustique est incroyablement efficace pour limiter tous les bruits aériens ou d’impact. Nous vous expliquons d’ailleurs ici les critères de choix d’un isolant phonique.
Associée à une ossature bois, ces matériaux apportent une bonne régulation de l’humidité. Ils peuvent absorber, sans soucis de salubrité, une part importante de leur poids en eau (de 5 à 15%). Un pouvoir hygrorégulateur qui va permettre de maintenir un taux d’humidité dans l’air idéal (en 45 et 55%) pendant toute l’année.
Des notions indispensables pour obtenir le meilleur confort thermique, points sur lesquels les matériaux conventionnels sont assez peu performants.
Vous trouverez ci-dessous un tableau comparatif des performances de ces isolants biosourcés et plus d’infos sur les isolants d’origine végétale ou ici sur leurs caractéristiques thermiques.
Les précautions à prendre avec les matériaux biosourcés
Evidemment, chaque matériau a ses défauts, et les biosourcés n’échappent pas à la règle. Cependant, contrairement à leur concurrent, il est assez facile de pallier à ces faiblesses lorsqu’on en a connaissance.
L’exposition à l’humidité
Ce n’est pas l’apanage de ce matériau, et contrairement à certains autres l’humidité ne les rend pas obsolètes. D’ailleurs la particularité de ces matériaux fibrés est justement de bien réguler l’humidité dans l’air.
Le risque est donc ailleurs, à la mise en œuvre, si l’isolant n’est pas bien protégé ou le bâtiment hors d’air hors d’eau. Il est donc nécessaire de stocker le matériau dans une zone peu exposée à l’humidité, que ce soit de la pluie, des remontées capillaires (du sol donc) ou de descentes de toiture, par exemple.
Vérifiez aussi à la livraison du produit qu’il est bien emballé et sec, pour éviter les mauvaises surprises.
Enfin, il est important de suivre les recommandations du fabricant pour la pose et l’entretien de l’isolant. Car, c’est le deuxième risque le plus courant dans les dommages liés à l’humidité : une mauvaise mise en œuvre. La pose d’un pare-pluie en partie froide (sous toiture notamment) ou d’un pare-vapeur en partie chaude, vous évitera bien des désagréments. Une bonne isolation n’est pas efficace sans une bonne ventilation. Prévoyez une ventilation, mécanique minimum. Et si votre étanchéité à l’air est parfaite, une ventilation double flux reste l’idéal pour éliminer également les polluants de votre intérieur (COV et autres).
La sécurité incendie
Comme TOUS les matériaux de construction, les isolants biosourcés sont combustibles au feu. Cependant, ils présentent 2 avantages : leur temps de combustibilité et leur non toxicité.
En effet, la densité de ces matériaux les rend plus difficilement inflammables, car il lui faut de l’air pour que la combustion se réalise. Et quand cette combustion s’effectue, les dégagements de fumée sont beaucoup moins toxiques que la plupart des matériaux conventionnels. En outre, la majorité de ces isolants contiennent un additif retardateur de feu. Ce qui laisse l’opportunité, la majorité du temps, de pouvoir s’échapper du lieu sans être intoxiqué et de prévenir les pompiers..
Quelques précautions sont toutefois à prendre :
- Se conformer aux normes et réglementations en vigueur ;
- Bien respecter les prescriptions de mise en œuvre du fabricant ;
- Installer les systèmes de détection (obligatoire) et d’extinction d’incendie (immeuble grande hauteur) ;
- Prévoir des finitions retardateurs de feu, comme les enduits naturels
Ainsi, il est recommandé lors de la mise en œuvre de prêter une attention particulière aux équipements électriques, notamment ceux qui ont tendance à chauffer (spot éclairage).
Le tassement de l’isolant
Naturellement, certains isolants biosourcés (en vrac et semi-rigides surtout) peuvent se tasser sous l’effet du temps et de la charge.
Ce n’est pas vraiment problématique, puisque l’hiver, en se chargeant de vapeur d’eau, l’isolant va légèrement gonfler et donc remplir tous les interstices. Ce phénomène peut être à relativiser en fonction du type de membrane d’étanchéité utilisée.
Toutefois, il est important de respecter les préconisations des fabricants lors de leur pose pour éviter ces désagréments susceptibles de causer des fuites d’air ou des ponts thermiques.
Ainsi, un défaut de compression ou de fixation, à la mise en œuvre peut être responsable d’un tassement. En fonction de l’usage de l’isolant, il faudra alors choisir l’isolant biosourcé avec la bonne résistance à la compression et au tassement. Ainsi, en comble perdu, le poseur prévoit une marge de 5 à 10 cm pour anticiper ce tassement.
Quand c’est possible, surveiller l’état de l’isolant en réalisant des inspections régulières pour détecter d’éventuels signes de tassement.
L’inertie des isolants biosourcés
Une des faiblesses du bois dans la construction ossature bois, c’est son manque d’inertie. C’est-à-dire sa capacité à stocker de la chaleur et à la restituer lentement.
L’ajout d’un isolant biosourcé va compenser un peu cette capacité à restituer la chaleur emmagasinée le jour pour la restituer la nuit. D’autres matériaux sont toutefois plus efficaces pour cette interaction : les matériaux géosourcés (terre, pierre).
Il suffit donc de prévoir soit un sol qui capte la chaleur du soleil le jour comme les carreaux de terre cuites, en pierre ou une terre battue, soit l’ajout d’un enduit naturel sur les murs intérieurs situés face au soleil pour capter cette chaleur.
Comme vous le voyez, le choix des matériaux biosourcés offre de nombreux avantages qui vont se révéler pertinents dans le temps, pour la santé, pour le portefeuille (économies d’énergie) et surtout pour le confort thermique. Leurs faibles défauts sont facilement compensables en respectant quelques règles, le plus souvent de bon sens. Quels sont alors les isolants biosourcés les plus adaptés à une construction bois ?
Les isolants biosourcés parfaitement compatibles avec le bois
Il existe aujourd’hui une multitude de matériaux biosourcés qui peuvent répondre aux exigences d’une maison ossature bois. Nous vous proposons de comparer les isolants biosourcés en fonction de leur usage sur différents paramètres techniques.
A noter : ce comparatif non exhaustif ne prend pas en compte la qualité de votre complexe mur ou sol. L’ajout d’un parement extérieur (type bardage) ou intérieur (type plaque de plâtre/gypse) et d’un revêtement intérieur (type enduit) peut encore améliorer les performances de votre paroi. (Voir tableau ci-dessous)
➡️Les isolants biosourcés souples entre ossature
Tableau comparatif des performances des isolants biosourcés pour l’ossature bois :
Paille de blé | Fibre de bois | Fibre de bois | Panneau | Chanvre panneau | Ouate cellulose panneau | Panneau | |
Type isolant | botte paille | panneau souple | panneau souple | panneau souple | panneau souple | panneau souple | panneau souple |
Conductivité thermique (λ)
base 200 mm (1) |
0,048 W/mK | 0,036 W/mK | 0,036 W/mK | 0,041 W/mK | 0,040 W/mK | 0,040 W/mK | 0,039 W/mK |
Résistance thermique (R)
base 200/500/60 mm (m²K/W) (2) |
4,58 | 5,55 | 5,55 | 4,94 | 5 | 5 | 5,25 |
Capacité thermique massique (J/kgK) (3) | 1558 | 2100 | 2100 | 1500 | 1800 | 1800 | 1800 |
Densité (kg/m³) (5) | 100 | 55 | ~ 50 | 40 | 40 | 45 | 30 |
Déphasage
base 200 mm (6) |
***** | ***** | ***** | **** | **** | **** | *** |
Facteur de résistance à la diffusion
de la vapeur d’eau (μ) (4) |
1,04 | 2 | 2 | 1 | 1 | 2 | 2 |
Hygrorégulation (8) | **** | **** | **** | ***** | ***** | ***** | ***** |
Réaction au feu (7) | Euroclasse E | Euroclasse E | Euroclasse E | Euroclasse E | Euroclasse F | Euroclasse F | NPD |
Performance acoustique (9) | *** | **** | **** | **** | *** | **** | ***** |
Teneur en biosourcé | 100% | 90% | 90% | 90% | 85% | 85% | 80 – 85% |
Bilan carbone (10) | Excellent | Bon | Bon | Excellent | Bon | Bon | Bon |
Prix (€/m²) départ magasin (11) | **** | **** | **** | **** | **** | **** | **** |
Application | murs | murs | murs | murs | murs | murs | murs |
(voir explications techniques ci-dessous)
➡️Les isolants biosourcés pour plancher et comble perdu
Tableau comparatif des performances des isolants biosourcés pour plancher et comble perdu de maison ossature bois :
Ouate de cellulose | Fibre de bois | Fibre de bois | Liège expansé | |
Type isolant | vrac | vrac | vrac | vrac |
Conductivité thermique (λ)
base 200 mm (1) |
0,039 W/mK | 0,038 W/mK | 0,038 W/mK | 0,045 W/mK |
Résistance thermique (R)
base 200/500/60 mm (m²K/W) (2) |
12,5 | 13 | 13 | 12,5 |
Capacité thermique massique (J/kgK) (3) | 1250 | 1200 | 1250 | 1200 |
Densité (kg/m³) (5) | 25 à 35 | 50 | 50 | 65 – 80 |
Déphasage
base 200 mm (6) |
***** | ***** | ***** | *** |
Facteur de résistance à la diffusion
de la vapeur d’eau (μ) (4) |
3 – 5 | 5 -10 | 5 -10 | 5 – 10 |
Hygrorégulation (8) | ***** | ***** | ***** | *** |
Réaction au feu (7) | Euroclasse E | Euroclasse B2 | Euroclasse B2 | Euroclasse E |
Performance acoustique (9) | **** | **** | **** | ***** |
Teneur en biosourcé | 80 – 95% | 95% | 95% | 99% |
Bilan carbone (10) | Bon | Excellent | Excellent | Excellent |
Prix (€/m²) départ magasin (11) | ***** | **** | **** | ** |
Application | comble / rampant | comble / rampant | comble / rampant | planchers |
(voir explications techniques ci-dessous)
➡️Les isolants biosourcés pour sol
Tableau comparatif des performances des isolants biosourcés pour sol de maison bois.
Liège expansé | Fibre de bois | Fibre de bois | |
Type isolant | panneau rigide | panneau rigide | panneau rigide |
Conductivité thermique (λ)
base 200 mm (1) |
0,040 W/mK | 0,048 W/mK | 0,040 W/mK |
Résistance thermique (R)
base 200/500/60 mm (m²K/W) (2) |
1,5 | 1,25 | 1,5 |
Capacité thermique massique (J/kgK) (3) | 1670 | 2100 | 2100 |
Densité (kg/m³) (5) | 100 – 120 | 250 | 140 |
Déphasage
base 200 mm (6) |
*** | **** | *** |
Facteur de résistance à la diffusion
de la vapeur d’eau (μ) (4) |
7 – 14 | 5 | 3 |
Hygrorégulation (8) | *** | ** | ** |
Réaction au feu (7) | Euroclasse E | Euroclasse E | Euroclasse E |
Performance acoustique (9) | ***** | ***** | ***** |
Teneur en biosourcé | 99% | 95% | 95% |
Bilan carbone (10) | Excellent | Bon | Bon |
Prix (€/m²) départ magasin (11) | ** | *** | *** |
Application | sol + toiture | sol | sol |
(voir explications techniques ci-dessous)
➡️Les revêtements extérieurs pour ossature bois
Tableau comparatif des performances des parements extérieurs pour ossature bois
Bardage Pin | Dalle OSB int/ext | enduit int/ext | enduit int/ext | enduit int/ext | |
Type isolant | |||||
Conductivité thermique (λ)
base 200 mm (1) |
** | * | ** | ** | ** |
Capacité thermique massique (J/kgK) (3) | * | * | ** | ** | ** |
Déphasage
base 200 mm (6) |
* | * | ** | ** | ** |
Facteur de résistance à la diffusion
de la vapeur d’eau (μ) (4) |
*** | *** | *** | *** | *** |
Hygrorégulation (8) | ** | ** | **** | **** | **** |
Réaction au feu (7) | * | * | **** | *** | *** |
Performance acoustique (9) | * | * | * | ** | ** |
Teneur en biosourcé | ***** | **** | *** | *** | ***** |
Bilan carbone (10) | Excellent | Bon | Excellent | Bon | Excellent |
(voir explications techniques ci-dessous)
➡️Les revêtements intérieurs pour ossature bois
Tableau comparatif des performances des parements intérieurs pour ossature bois
MDF Pure | lambris bois | plaque gypse | |
Type isolant | |||
Conductivité thermique (λ)
base 200 mm (1) |
* | ** | * |
Capacité thermique massique (J/kgK) (3) | ** | * | * |
Déphasage
base 200 mm (5) |
* | * | ** |
Facteur de résistance à la diffusion
de la vapeur d’eau (μ) (6) |
**** | *** | **** |
Hygrorégulation (7) | ** | ** | ** |
Réaction au feu (8) | ** | * | **** |
Performance acoustique (9) | ** | * | *** |
Teneur en biosourcé | *** | ***** | *** |
Analyse de cycle de vie (10) | Bon | Excellent | Bon |
Prix (€/m²) départ magasin (11) | **** | *** | **** |
↪️ Explications des caractéristiques :
- Conductivité thermique : indicateur de la capacité d’un matériau à conduire la chaleur. Plus la valeur est basse, plus le matériau est isolant.
- Résistance thermique : résultat de la division de l’épaisseur du matériau par sa conductivité thermique. Elle permet de comparer l’efficacité des isolants. Plus la valeur est haute, plus le matériau est isolant.
- Capacité thermique massique : capacité d’un matériau à stocker de la chaleur. Plus la valeur est élevée, plus le matériau est capable de stocker de la chaleur. Plus la valeur est haute, mieux le matériau stocke la chaleur.
- Facteur de résistance à la diffusion de la vapeur d’eau : capacité d’un matériau à empêcher la vapeur d’eau de le traverser. Plus la valeur est élevée, plus le matériau est résistant à la vapeur d’eau
- Déphasage : la capacité d’un matériau à retarder le transfert de chaleur. Plus la valeur est élevée, plus le matériau est capable de maintenir une température stable à l’intérieur du bâtiment.
- Facteur de résistance à la diffusion de la vapeur d’eau : capacité d’un matériau à empêcher la vapeur d’eau de le traverser. Plus la valeur est élevée, plus le matériau est résistant à la vapeur d’eau
- Hygrorégulation : capacité d’un matériau à absorber et à restituer l’humidité ambiante, contribuant ainsi à réguler le taux d’humidité dans un espace. Plus la note est élevée, plus le matériau est capable de réguler l’humidité.
- Réaction au feu : la capacité d’un matériau à résister à la flamme. Les Euroclasses définissent les niveaux de performance des matériaux en cas d’incendie. Plus la note (A à F) est élevée, moins le matériau est efficace à la réaction au feu.
- Performance acoustique : capacité du matériau à isoler acoustiquement les bruits aériens et les bruits d’impact. Plus la note est élevée, plus le matériau est efficace.
- Analyse de cycle de vie : évalue l’impact environnemental d’un produit, de sa création à son élimination.
- Tarif : comparatif en fonction des isolants biosourcés du marché – plus la note est élevée *, meilleur est le tarif.
Au final, tous les matériaux biosourcés sont naturellement compatibles avec le bois. Votre choix sera guidé par votre sensibilité, vos priorités, la proximité et disponibilité des matériaux, et évidemment par votre budget.
Pour plus d’informations, et des conseils adaptés à votre système constructif, votre environnement et votre budget, n’hésitez pas à faire appel à un professionnel des magasins du réseau Nature & Développement
Crédits Photos : France Poutre, Cellaouate, ecoshack et Nick Fewings, Jen-Theodore sur Unsplash
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